dimanche 4 novembre 2007

De retour a Tegus en ce dimanche soir de novembre apres un week end a La Ceiba. Cote caraibe encore une fois, ville tres reputee pour sa vie nocturne. Les noctambules que nous sommes avions donc fait le deplacement pour les 20 ans d'Hannah (2eme en partant de la gauche).
Tres cool, glandouille...seul bemol, trop de germanophones et moi j'y comprends que dal!! (quoi que je commence a m'ameliorer, je vais finir par apprendre l'allemand au Honduras)

Une partie de l'equipe...ou le bonheur retrouve de se promener tranquilles dans la rue

On a trouve un dortoir qu'on a rempli a nous seuls, dans un environnement plutot sympa et luxuriant...mais a l'etage, quelque peu scabreux quand meme




Et puis finalement, la vie nocturne cebeña on en a pas vu grand chose...et pourtant "c'est comme aller a Paris sans visiter la Tour Eiffel" selon le Petit fute (guide tres nul entre nous). On a prefere soirees plage ou encore jeux de cartes a notre sauce... le gout de la contradiction certainement, on n'est pas des moutons!!

Sinon La Ceiba c'est une ville hondurienne alors pour etre gentille on va dire qu'il n'y a pas de grand interet architectural... Par contre il y a la plage, au mois de novembre, avec des grosses vagues et une eau toujours aussi bonne

Plage deserte avec seulement des vaches, quelques chevaux et les quelques gringos que nous sommes.

Meme si ca ne saute pas aux yeux, c'est l'hiver ici aussi. Il pleut donc beaucoup sur la cote nord. Le systeme d'evacuation des eaux n'est pas au top donc le meilleur moyen reste de marcher pieds nus ou en tongs dans la rue. Et puis du coup il y a aussi droit a la douche a chaque fois qu'un gros beauf passe a fond la caisse avec son 4*4...


Comme cette pancarte quelque peu usagee ne l'indique pas, il n'y a plus aucun service ferroviaire au Honduras. Ici c'est doucement le matin, pas trop vite le soir (a l'exception de Tegus, tres fatiguante a cause du bruit et de la pollution). Ca en enerve certains, a l'image de Diana, ma "mere" d'accueil, qui s'insurgeait l'autre jour contre les Garifunas qui peuplent la cote nord : "Ils ont leur resto de poisson, leur hamac, la musique et ca leur suffit. Quand on voit les infrastructures de reve a Acapulco...". Et la j'ai envie de faire "gloups" mais comme je suis diplomate je me retiens.. Vive les rares recoins ou la langueur et la paresse sont encore reines!! Message engage du soir, bonsoir : Vive les Garifunas!!

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